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Echangisme Paris

Vas-y, prends-moi, à fond, j'suis pas une poupée de porcelaine. Lèche ma chatte baveuse. Il n'ose rien. La routine ! Mords-moi, étouffe-moi dans tes bras.

Ses caresses se font plus pressantes, plus passionnées et je dois avouer que je ne suis pas insensible à ce qu'elle me fait, mais je ne suis pas en reste non plus, je pétris ses fesses en l'embrassant goulûment. Ma main droite descend vers son minou tout lisse que je caresse doucement du bout des doigts. Ça a l'air de lui plaire car elle se tortille de plus en plus. Mes doigts s'insinuent dans sa fente et ressentent son excitation, ses grosses lèvres s'entrouvrent et elle mouille assez bien. J'insinue alors un doigt dans son vagin tout humide et l'agite. Ses gémissements sont de plus en plus forts et rauques. Je me dis que si quelqu'un monte à l'étage, il entendra tout. J'en fais part à Marie qui éclate de rire et m'invite à continuer. Je pense alors à toi qui pourrais venir nous mater discrètement tout en te caressant et mon excitation n'en est que plus intense.

Je mis d'abord cela sur le compte de sa gentillesse et de son amour pour moi. Puis, je me rendis compte qu'elle m'observait plus souvent qu'à l'accoutumée. Ses regards se faisaient plus appuyés, plus précis. Elle dévorait des yeux ma poitrine et mes fesses qui elles aussi prenaient de l'ampleur.

Si tout mon corps s'était contracté pour résister à ce plaisir immoral, je me détendais complètement pendant que Marie poursuivait sa route sur mon corps. Nous échangions maintenant un gros baiser baveux comme elle le disait plus tard, nous nous serrions fort l'une contre l'autre partageant notre chaleur commune. Qu'elle expérience incroyable que de voir, sentir, caresser son jeune corps nu pressé contre le mien. Elle ronronnait, se roulait contre moi et soupirait de bonheur.

Sa bouche continuait de me titiller, m'embrasser, mordre plus ou moins fort pendant que ses mains glissaient encore et encore sur l'intérieur de mes cuisses. Puis la pulpe de ses doigts laissant place à ses ongles, Marie me griffa légèrement sur toute la longueur de mes cuisses. Ma main dans ses cheveux se crispa, attrapa une poignée de sa crinière noire. Ma main droite se ferma à en blanchir les jointures. Un orgasme fulgurant me terrassa, je sentis mon sexe s'inonder et ne pus retenir un hurlement de plaisir.